TOUT SAUF DE GLACE...

12.04.2021

Pourquoi JIVRE ? Avec un J ? Comment est né le groupe ?

JIVRE c’est tout bête, c’est un mot, un impact, comme ce qu’on souhaite transmettre en live. Mais c’est aussi un mot qui nous appartient, qu’on a créé à partir de rien comme notre musique. Ça vient du givre, ça vient de j’ivre, c’est glaçant mais ça réchauffe une fois qu’on est à l’intérieur !

Quelles sont vos influences ? Vous ont-elles servis à définir votre style ?

Nos influences sont les classiques du rock mais aussi de la pop française, mélangés aux sons de guitare de 2020. En répétition, on passe facilement de Joy Division à Lio parce qu’il faut savoir trouver l’inspiration partout et reconnaître ce qui est réussi. Nos points de repères sont très variés, ce qui nous a permis de ne pas nous enfermer dans une case et de créer notre « garage wave » à nous.

Les groupes de rock sont nombreux dans le paysage musical. A quoi peut-on reconnaître JIVRE ?

La garage wave de JIVRE n’est pas qu’une affaire de sonorité. C’est aussi et surtout une attitude, un feeling, communiquer son énergie au public qui nous le rend bien. JIVRE, c’est brut de décoffrage et par vagues, mélodieux et aérien. La combinaison des sensibilités de chacun nous permet de faire la différence.

© Bartosch Salmanski – 128db.fr

Vous êtes l’un de nos trois pépiniéristes depuis le mois de septembre. Tout se passe bien ? Quelles sont vos attentes, vos marges de progression ?

La pépinière est un sacré plus, surtout en ce moment, qui nous permet de bosser sur des aspects que nous n’avions pas forcément envisagés auparavant. On effectue un vrai travail de professionnalisation et c’est plaisant d’être accompagnés dans cette aventure par des gens qui vous veulent du bien. Les projets sont nombreux et le chemin encore long mais on prend tout ça à bras-le-corps !

La crise sanitaire a sans doute impacté votre actualité. Pas trop compliqué le développement de carrière en cette période trouble ?

C’est sûr qu’on a été très déçus de ne pas pouvoir honorer sur scène nos sélections aux différents tremplins des festivals de la région. Mais il faut vivre dans le présent, ça ne sert à rien de ressasser. On est toujours là, avec encore plus de d’envie qu’avant ! On se fait plaisir, on travaille sur la suite et on sera prêts quand il le faudra.

Toujours prêts à tout casser donc, malgré le contexte ?

On casse tout et on donne un coup de main pour nettoyer derrière, question de savoir-vivre !